Dycem® vs surchaussures
Étant donné que 80 % de la contamination survient au niveau du sol, nombreuses sont les industries à utiliser des surchaussures en prévention pour protéger les salles blanches ou les environnements contrôlés des chaussures du personnel présent. Les surchaussures sont des protections à enfiler qui s’adaptent à la plupart des modèles et tailles de chaussures et empêchent la semelle de la chaussure d’entrer en contact avec le sol. Elles sont mises à disposition de différentes manières via des distributeurs. Bien que le fait de recouvrir vos chaussures puisse sembler une bonne idée, plusieurs risques se présentent.
Déchet
La plupart des surchaussures sont composées de plastique jetable et sont à usage unique. Les opérateurs doivent enfiler de nouvelles surchaussures ou jeter les surchaussures usagées à chaque fois qu’ils entrent ou sortent d’un environnement contrôlé, c’est-à -dire plusieurs fois par jour. De plus, en fonction des niveaux de contrôle d’un établissement, le nombre de couches de surchaussures peut varier. Des déchets sont également générés lorsqu’un opérateur saisit plusieurs paires de chaussures à la fois ou contamine par mégarde une surchaussure en la faisant tomber par terre, ce qui la rend inutilisable.
Avec des années de satisfaction client et des données scientifiques à l’appui, les tapis Dycem ont prouvé leur supériorité à long terme. Comme les tapis sont lavables et réutilisables pendant en moyenne plus de 3 ans, on réduit la dépendance aux plastiques à usage unique. Tous les tapis Dycem sont fabriqués de manière éco-responsable conformément aux normes de durabilité.
Contamination croisée
Le fait d’utiliser ses mains pour enfiler une surchaussure peut poser plusieurs problèmes. Si la main qui enfile la surchaussure n’est pas propre, la surchaussure peut être contaminée. De plus, si pendant l’enfilage la main touche la semelle de la chaussure, il existe un risque de transfert de contamination. Étant donné que les matériaux et les qualités varient, certaines surchaussures ont tendance à laisser des particules passer voire même à se déchirer, laissant alors une chaussure sale entrer en contact avec le sol.
Les tapis Dycem attirent et captent toutes les particules qui entrent en contact ou se situent à proximité de sa surface. L’énergie de surface élevée et l’adhérence naturelle du polymère retient les particules et empêche leur redistribution dans l’environnement. L’additif à base d’argent Polygiene BioMaster inhibe le développement de microbes potentiellement dangereux.
Connaître les faits...
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Indisponibilité du personnel
Le fait de devoir enfiler des surchaussures peut créer un goulet d’étranglement dans les procédures d’habillage du personnel. Étant donné qu’une chaussure couverte est alors considérée comme « propre », elle ne doit pas entrer en contact avec une zone « salle ». Par conséquent, le processus demande une prudence extrême et prend du temps.
Les tapis Dycem étant placés dans le flux de circulation inévitable, les opérateurs n’ont qu’à marcher dessus pour entrer ou sortir d’une zone. On évite les indisponibilités liées à la formation ou aux procédures supplémentaires. La maintenance est minime pendant la durée de vie des tapis, soit plus de 3 ans en moyenne. Nul besoin de commander et de stocker en permanence les fournitures requises. Une fois installés, les tapis Dycem s’intègrent facilement au planning de nettoyage humide journalier et sont prêts-à -l’emploi.
Hygiène et sécurité
Les surchaussures peuvent présenter plusieurs risques d’hygiène et sécurité pour les employés. Si elles ne sont pas bien adaptées ou si elles ne sont pas enfilées correctement, il est possible de trébucher ou de glisser. Souvent utilisées en parallèle des tapis adhérents pelables, les surchaussures peuvent se déchirer ou être arrachées facilement par l’adhésif puissant, ce qui constitue un problème de sécurité.
Les tapis Dycem sont une solution qui favorise la sécurité des opérations au sein de l’installation. Discrets et fixés à la chape, les tapis Dycem permettent aux employés de marcher facilement et suppriment le risque de trébuchement ou de chute. L’additif antimicrobien Polygiene BioMaster est stable, ne coule pas, et est efficace pendant toute la durée de vie du produit (plus de 3 ans).
Coût total
Le prix bas initialement associé aux surchaussures peut vite grimper, en particulier pour les grandes structures qui gèrent des volumes importants de personnel et qui requièrent plusieurs couches de contrôle. Les coûts cachés de l’indisponibilité du personnel pendant l’utilisation, les éventuels problèmes d’hygiène et de sécurité, et le risque de rappels ou de rejets de lots à cause d’une contamination, ne peuvent pas être ignorés.
Avec une durée de vie de plus de 3 ans, un temps d’arrêt minimal pour l’utilisation, une réduction des déchets, et surtout, la baisse des problèmes de contamination qui peuvent coûter cher, les tapis Dycem offrent un meilleur retour sur investissement et constituent la solution la plus économique.
